Parents en Lutte : Défendre ses droits face à l’ASE

Description

Quand l’administration s’invite dans l’intimité des familles, qui protège les parents ?
Le placement d’enfants par l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) est une mesure qui bouleverse des milliers de familles en France chaque année. Trop souvent, les parents concernés se retrouvent seuls, désemparés, sans savoir comment réagir, à qui s’adresser ni quels sont leurs droits. Ce livre est né de cette urgence : rendre visibles les réalités vécues, donner des clés pour agir et reconstruire.

Dans cet ouvrage engagé et accessible, Yves Guéchi, auteur, formateur et parent concerné, propose un accompagnement pas à pas à toutes les familles confrontées à l’ASE. À travers une approche à la fois pratique, juridique et humaine, ce guide aborde sans détour les étapes d’un placement, les droits des parents, les procédures légales, les stratégies de défense et les ressources disponibles pour affronter cette épreuve.

Vous trouverez dans ce livre :

• Une explication claire du rôle de l’ASE et du juge des enfants ;
• Les droits fondamentaux des parents avant, pendant et après un placement ;
• Les recours possibles, les délais à respecter, l’aide juridictionnelle et comment choisir un avocat ;
• Des conseils concrets pour préparer les rencontres avec les services sociaux ;
• Des stratégies pour préserver ou rétablir le lien familial avec l’enfant ;

Et surtout, des témoignages bouleversants de parents ayant vécu cette épreuve et s’étant battus pour leurs enfants.

Ce livre ne se contente pas de dénoncer un système parfois injuste : il offre des solutions, des encouragements, des outils. Il donne une voix à celles et ceux que l’on écoute trop rarement : les parents.

Parents en Lutte est un cri d’alerte, mais aussi un message d’espoir. Il rappelle que, même dans la douleur, il est possible de se relever, de comprendre ses droits et de reprendre sa place dans la vie de ses enfants. Il s’adresse à tous : parents, avocats, éducateurs, militants, travailleurs sociaux, citoyens.

Parce que défendre sa famille est un droit, pas une faveur.
Parce que comprendre, c’est déjà résister.